Jurassic World 2 en salle le 22 juin 2018?

Selon un journal amricain, la suite de Jurassic World devrait tre diffuse en 2018. Chris Pratt et Bryce Dallas Howard seront encore une fois au casting.

Il fallait s’y attendre. Jurassic World, troisième plus gros succès de l’histoire du cinéma -derrière Avatar et Titanic-, aura le droit à une suite. Jurassic World 2 sortira même au cinéma le 22 juin 2018, si l’on en croit les informations du journal américain The Hollywood Reporter (lien en anglais).

Et bonne nouvelle, les acteurs Chris Pratt et Bryce Dallas seront à nouveau de la partie. Tout comme le scénariste Colin Trevorrow, qui avait réécrit World. Toujours selon The Hollywood Reporter, Steven Spielberg sera le producteur délégué et Frank Marshall le producteur.

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Selon la société spécialisée Exhibitor Relations, le quatrième opus de la série de science-fiction où les dinosaures marchent de nouveau sur Terre, créée en 1993 par Steven Spielberg, a généré 1,52 milliard de dollars de recettes dans le monde entier depuis sa sortie le 12 juin.

Avatar (2009) reste largement en tête avec 2,79 milliards de dollars, suivi à une certaine distance par Titanic (1997) qui avait engrangé 2,19 milliards. Ces deux films ont été réalisés par l’Américain James Cameron.

Les dinosaures plus forts que les super-héros

« Je ne pense pas que quiconque pensait que Jurassic World aurait une chance de s’attaquer au record cet été. Ca montre tout simplement que les super-héros ne peuvent pas grand chose face aux dinosaures, probablement parce que ces derniers ont vraiment marché sur Terre à une époque », a déclaré Jeff Bock, analyste d’Exhibitor relations.

Cette intrusion de Jurassic World dans le Top 3 des meilleures recettes mondiales a en effet relégué les superhéros de Avengers (2012) en quatrième position avec 1,52 milliard de dollars encaissés. Fast & Furious 7, sorti le 3 avril est cinquième avec 1,51 milliard de recettes.

Voir, ou revoir la bande-annonce de Jurassic World (1), ci-dessous:

Adaptation au droit UE, signalements pédophilie: le Parlement a adopté le projet de loi

Le Parlement a dfinitivement adopt jeudi, par un ultime vote de l’Assemble, le projet de loi d’adaptation de la procdure pnale au droit de l’UE. Ce texte comprend un dispositif d’information de l’employeur d’une personne exerant auprs de mineurs et souponne de pdophilie.

Signé, mais contesté. Le Parlement a définitivement adopté jeudi le projet de loi d’adaptation de la procédure pénale au droit de l’UE. Un texte qui comprend un dispositif d’information de l’employeur d’une personne exerçant auprès de mineurs et soupçonnée de pédophilie.

Rejeté une nouvelle fois à la mi-journée par le Sénat, à majorité de droite, la loi a finalement a été voté définitivement par l’Assemblée nationale, qui avait le dernier mot et qui a rétabli auparavant sa version. PS, radicaux de gauche et écologistes y ont apporté leurs suffrages, les groupes LR et UDI se sont abstenus en raison de plusieurs « cavaliers législatifs ».

La droite va saisir le Conseil constitutionnel

Les sénateurs de droite ont annoncé qu’ils saisiraient le Conseil constitutionnel. En cause, le dispositif d’information de l’employeur d’une personne exerçant des activités auprès de mineurs et soupçonnée de pédophilie, prévoyant des cas, limités, d’information possible par le parquet dès le stade d’une garde à vue.

La ministre de l’Education nationale Najat Vallaud-Belkacem a récusé une « réponse de circonstance » et défendu un dispositif offrant « un cadre légal clair » sur la transmission d’informations, question sensible soulevée par de récents scandales de pédophilie à l’école. « Ce n’est pas un blanc seing que vous donnez au gouvernement, voilà un mois que nous avons engagé le débat et le texte a bien évolué », entre autres pour « renforcer les droits et garanties de la personne mise en cause », a-t-elle ajouté à l’attention des députés.

La droite et le centre se sont néanmoins inquiétés une nouvelle fois d’un possible dispositif « attentatoire à la présomption d’innocence ».

Renforcement de la protection des témoins

Ce texte, qui transpose pour le reste plusieurs directives européennes, comporte d’autres dispositions diverses, comme le renforcement de la protection des témoins contre des représailles dans les procédures concernant certains crimes et délits, ou la majoration jusqu’à 10% des amendes, hors amendes forfaitaires, au profit de l’aide aux victimes (après une censure d’une première version par le Conseil constitutionnel).

En outre, un article vise à combler une faille juridique pouvant profiter au Front national dans le cadre de l’enquête en cours sur son financement.

Seine-Saint-Denis: ils volent une voiture avec un bébé à l’arrière

Des malfaiteurs se sont empars d’une voiture dans laquelle se trouvait un petit garon de 5 mois. Ils ont rapidement t interpells.

Grosse frayeur pour une mère de famille: trois hommes se sont violemment emparés mardi de sa voiture à Saint-Denis, prenant la fuite avec son bébé de cinq mois à l’arrière. Les malfaiteurs ont heureusement rapidement été interpellés peu après par les policiers.

Un bébé à l’arrière sur un siège auto

La jeune femme de 28 ans était sur une artère de la ville où les vols, notamment à la portière, sont fréquents, lorsqu’elle « a été sortie avec violence de sa voiture », une Peugeot 307 « banale », a précisé à l’AFP une source policière.

Deux des malfaiteurs ont ensuite pris la fuite à bord de la voiture volée dans laquelle un petit garçon de cinq mois était attaché à l’arrière sur un siège auto, le troisième homme s’échappant dans un autre véhicule.

Se rendant compte de la présence du bébé quelques mètres plus loin, l’un d’eux a stoppé le véhicule pour le confier à deux vigiles croisés sur le chemin. Entre-temps, « les effectifs de police avaient été alertés et le numéro de la plaque avait été diffusé sur toutes les ondes radio », et tous ont été retrouvés quelques minutes plus tard.

Les malfaiteurs connaissaient le mari de la mère de famille

Selon le parquet de Bobigny, la mère de famille était sur le siège passager. Pendant que les deux hommes discutaient dans la rue, « deux personnes dans une Clio noire se sont arrêtées derrière la voiture et sont entrées dans l’habitacle avec un gros chien, un molosse, effrayant la femme ».

Selon les premiers éléments de l’enquête, le père du bébé et les malfaiteurs se connaissaient et la piste du vol de la voiture « pour régler un litige professionnel » est étudiée, a précisé le parquet.

« La présence de l’enfant était fortuite », a insisté cette source.

Âgés de 19 à 37 ans, les trois hommes ont expliqué en garde à vue qu’ils « ne savaient pas pourquoi ils avaient fait ça et qu’ils regrettaient ».

Mercredi soir, la garde à vue de celui qui a rendu l’enfant et semble n’avoir été qu’un accompagnateur des deux principaux suspects a été levée, a précisé le parquet.

Eleveurs en colère: après les annonces du gouvernement, la mobilisation continue

Aprs les annonces du gouvernement, les leveurs lvent leurs blocages autour de Caen, mais d’autres agriculteurs menacent de poursuivre le mouvement ou de s’y engager, notamment Lyon et Clermont-Ferrand. Le point sur la situation.

Au quatrième jour d’une mobilisation qui va crescendo depuis dimanche, les éleveurs accentuent la pression sur le gouvernement. Celui-ci a dévoilé un plan de soutien à l’élevage français, dans l’espoir d’obtenir la levée des barrages qui paralysent de nombreux axes routiers. Si l’objectif semble atteint à Caen, d’autres agriculteurs menacent de poursuivre le mouvement ou de s’y engager, notamment à Lyon et Clermont-Ferrand. Invité mercredi soir de TF1, Stéphane Le Foll a admis que l’incendie n’était pas encore éteint, précisant: « il reste des zones de blocage ». L’Express fait le point sur la situation.

> Lire: Les raisons de la colère des éleveurs

Normandie et Bretagne à la pointe du mouvement

Le président de la FDSEA du Calvados, Jean-Yves Heurtin, a proposé de « suspendre » les blocages, aux éleveurs réunis à un barrage sur le périphérique sud de Caen, épicentre du mouvement. Le temps de « mettre à l’épreuve le ministre dans ses engagements »… Aussitôt, les tracteurs ont commencé à se ranger sur le côté de la route. Mais un autre barrage était toujours en place à la sortie ouest de la ville, en direction de Rennes.

En Seine-Maritime, en revanche, le mouvement se poursuit et de nombreux ponts restent bloqués. Les ponts de Normandie, enjambant l’estuaire de la Seine, de Tancarville et de Brotonne, entre Le Havre et Rouen, restent fermés à la circulation dans les deux sens. « Nos collègues du Calvados ont commencé leur mouvement dimanche soir, nous n’avons démarré qu’hier matin, on peut encore tenir », a déclaré Stéphane Donckelé, vice-président de la FNSEA de Seine-Maritime. « Le mot d’ordre est d’aller renforcer les barrages des ponts.

Au Mont Saint-Michel, au moins un des barrages installés par les agriculteurs restait en place.

En Ille-et-Vilaine, à Saint-Malo, les éleveurs devaient se concerter à partir de 17h pour décider de la suite à donner au mouvement, après avoir bloqué depuis mardi le principal accès à la ville la plus visitée de la région. Dans le Finistère, les éleveurs ont quitté le grand pont de l’Iroise, à Brest, qu’ils occupaient depuis mardi. En revanche, d’autres barrages sont toujours en place à Quimper et Morlaix. Dans un communiqué, les Bonnets rouges ont appelé « tous les Bretons à se joindre aux manifestations des agriculteurs partout où c’est possible ».

Rhône-Alpes et Auvergne veulent prendre le relais

Les éleveurs d’Auvergne et Rhône-Alpes, déçus du plan d’aide annoncé par le gouvernement, vont bloquer les accès à Lyon à partir de mercredi soir et ceux de Clermont-Ferrand jeudi matin.

Les éleveurs des départements de Rhône-Alpes se sont mis d’accord pour bloquer dès la fin de journée tous les points autoroutiers stratégiques d’accès à Lyon, a-t-on appris auprès des antennes locales de la FNSEA et des Jeunes Agriculteurs. A Clermont-Ferrand, le blocage de cinq points d’entrée de la ville se fera jeudi matin, selon la FDSEA et les JA du Puy-de-Dôme.

Le nord libéré progressivement

A Lille, si le blocage de l’autoroute A1 a été levé tôt dans la matinée, l’autoroute était encore coupée dans le sens Lille-Paris, le temps que la route soit nettoyée et que les vérifications de sécurité soient effectuées.

Dans le sens Paris-Lille, en revanche, la circulation a été rétablie dès le milieu de matinée. La situation devrait revenir à la normale « en fin de soirée », selon le Cricr Nord. En Picardie, les dernières actions d’envergure ont été levées.

Le mouvement s’étend au Centre de la France

La colère des éleveurs gagne la région Centre. France 3 Val-de-Loire relate des occupations de supermarchés dans le Cher mais aucun barrage n’est annoncé. Dans l’Indre, une manifestation s’est déroulée la nuit dernière dans les rues de Châteauroux, selon France Bleu. Les barrages filtrants mis en place mercredi par une centaine d’agriculteurs sur les routes d’accès au château de Chambord ont été levés vers 16h, dans le Loir-et-Cher.

En Loire-Atlantique, où aucun blocage n’avait lieu ce mercredi, les actions prévues jeudi matin, suivant un mot d’ordre national appelant à viser les transformateurs, sont « complètement maintenues » pour poursuivre « la pression », selon le président des JA du département, Charles Guerlais. « Les annonces du gouvernement n’ont rien fait pour calmer l’élevage (…). Dans les campagnes, on a l’impression que M. Le Foll s’est foutu de nous », a-t-il ajouté.

En Vendée, plusieurs barrages ont été levés en début d’après-midi, mais étaient maintenus à la périphérie de Challans, devant deux grandes surfaces, et à une sortie de l’autoroute A83, selon la FDSEA. A la gare de péage de Boufféré, les agriculteurs bloquaient les camions Intermarché et distribuaient les denrées non produites en France aux automobilistes. Au total, 700 agriculteurs vendéens ont participé à ces actions, selon la FDSEA.

Le pont de l’île d’Oléron reste également toujours bloqué ce soir.