Loopings et sensations fortes

Le week-end dernier, j’ai accompli un vieux rêve : j’ai réalisé un vol en avion de chasse. Je ne pense pas qu’on puisse décrire un tel vol, et je dois dire que j’ai pas mal hésité à rédiger un billet sur le sujet. Mais après tout, si je ne fais pas part d’une aventure aussi importante, quelle est l’utilité de ce blog ? Dimanche dernier, je suis donc allé à l’aéroclub pour y accomplir ce baptême de l’air assez particulier. Si vous vous imaginez peut-être L’étoffe des héros, je vais vous décevoir. Le vol ne se faisait certes pas sur un F-16, mais sur un Fouga Magister (l’ancien appareil de la Patrouille de France) : un avion créé pour les meetings aériens mais qui n’a en aucun cas le look d’un avion de combat, avec sa queue si repérable. Une fois en vol, je me suis senti bien. Il faut dire que le Fouga émet une telle sensation de puissance qu’on se sent en sûreté : il garde sa trajectoire en dépit des bourrasques de vent. Le vol est très différent de celui qu’on peut avoir à bord d’un avion de loisir. Si ça commence assez tranquillement, il vaut mieux avertir qu’il faut avoir le coeur bien accroché pour vivre un vol n’est pas pour les âmes sensibles. D’ailleurs, il faut un examen médical pour pouvoir se lancer. Si tout va bien les premiers instants, avec un vol à basse altitude, le vol devient très différent quand commence la phase acrobatique ! On ressent la frénésie du vol dès les premières vrilles, quand on est plaqué contre son siège avec la vitesse. La pression corporelle est colossale. On encaisse 4,5 G pendant certaines figures et le poids se voit alors multiplié d’autant ! Il faut contracter les muscles autant que possible afin de rester conscient. Alors oui, j’ai bien conscience que présenté de la sorte, ça ressemble vaguement à une souffrance, mais c’est véritablement une sensation unique. Le plus éprouvant, finalement, reste de passer des G positifs aux négatifs à tout bout de champ. Ca, ça remue clairement. J’avais l’impression que mes organes se prenaient pour un yo-yo, ce qui n’est franchement pas la meilleure manière de garder son petit-déjeuner là où il doit être. Et même si j’ai adoré l’expérience, j’ai été content (et attristé, en même temps) sur la route du retour. De retour sur la terre ferme, j’étais blanc comme un linge, mais j’étais aux anges. Encore plus d’information sur ce baptême en avion de chasse à Paris Pontoise en allant sur le site internet de l’organisateur.

La croyance dans le créateur

Pour que les individus acquièrent des connaissances et se rapprochent de la vérité sur le Créateur, ils devaient essayer de saisir l’intelligible, en utilisant la raison et la logique. Avicenne suit La pensée d’Aristote dans Prior Analytics, dans laquelle il a identifié la capacité d’une personne à frapper le moyen terme d’un syllogisme pour développer des arguments. (Une tradi- Le syllogisme international a deux prémisses et une conclusion, comme par exemple: «Toutes les choses mortelles meurent. Tous les hommes sont des choses mortelles. Tous les hommes meurent. Le terme à moyen terme désigne les deux les locaux ont en commun – dans ce cas, des choses mortelles.) Pour Avicenne, c’est l’âme humaine qui s’est engagée dans la tâche de gagner connaissance de la réalité. L’âme humaine était incorporelle – séparée du matériel monde. C’est parce qu’une pensée intellectuelle, pour rester un élément cohérent cept, ne pouvait pas appartenir à différents intellects, mais était plutôt détenu par un seul intellect. L’âme était donc aussi immortelle; la désintégration du corps après la mort n’a pas affecté il.  Kitab al-isharat wa at-tanbihat, dernier ouvrage philosophique majeur d’Avicenne  (Livre de directives et de remarques), il a décrit le chemin de la connaissance depuis le début  à la vision finale de Dieu. Il a été écrit au cours des 14 dernières années de sa vie en  qu’il a vécu relativement paisiblement à l’emploi d’Ala ad-Dawlah, le souverain de  Esfahan, Iran. Avicenne est décédé en 1037 à Hamadan.  Dans le siècle qui a suivi sa mort, le Canon de la médecine et une partie du livre de la santé  ont été traduits en latin. La traduction a amené les idées d’Avicenna à un débat euro-  public pean et a d’abord été perçu comme un simple commentaire; un siècle plus tard, son  les efforts pour intégrer la philosophie à la foi ont été grandement appréciés par Christian  savants. Le théologien chrétien Scholastic avant tout Thomas d’Aquin  (1225-1274) incluait certaines de ses preuves, par exemple la distinction entre  essence et existence, en théologie catholique. Les œuvres d’Avicenne en philosophie,  ologie et la médecine avaient une dominante influence dans le monde islamique après sa mort  et restent d’importance aujourd’hui.